17 Mars 2008
Des croissants, du café, du jus d’orange
La maison est tranquille et silencieuse
Sur le balcon, on aperçoit une mésange
L’heure est matinale mais si précieuse
Mais le temps passe vite dans tes bras
Ce midi, les enfants viennent déjeuner
Il va bien falloir nous arracher des draps
Je dois tout préparer avant leur arrivée
Après la douche, on déguste un petit café
Nos mains se touchent par-dessus la table
Les yeux dans les yeux, nos regards rivés
On retient le temps qui passe, inéluctable
Un dernier baiser et tu files acheter le pain
A ton retour, tu m’offres de jolies fleurs
C’est tout toi, prévenant et tellement câlin
Encore, grâce à toi, un matin de pur bonheur
M.M. – 17 mars 2008