21 Octobre 2008
Maman m’a fait prendre conscience
A temps, de mon erreur de jugement
Mais j’ai tellement connu la souffrance
Due aux mystifications, aux boniments
Pourtant tant de fois tu m’as prouvé
Ton attention par de tous petits riens
Comment ai-je pu oser te comparer ?
C’était t’insulter que de faire ce lien
Pour te pardonner, peu de choses
Ta voix, ton regard, ton sourire
Me font fondre, tu es un virtuose
Et je sens la confiance me revenir
Bien sûr ça restera gravé en moi
Et si je t’en reparle à l’occasion
Avec une pirouette, tu t’en tireras
Et de cela, on en rira à l’unisson !
M.M. – 21 octobre 2008