24 Mars 2014
Tu pleures un père que tu n’as pas connu
Tu te focalises sur des soi-disant non-dits
Mais aucun sentiment pour cet enfant perdu
Ni pour sa Maman et sa douleur ressentie
Ta famille t’ignore et n’apporte rien à ta vie
Elle a préférée te laisser élever par des étrangers
La mienne te recevait à bras ouverts sans a priori
Mais tu préfères vivre en ermite et la repousser
Et dire que j’ai cru ce que tu me disais au début
Tu cherchais quelqu’un pour combler ta solitude
Mais toutes les jolies promesses sont disparues
Surtout tu ne veux rien changer à tes habitudes
Et que dire de ton comportement plus qu’ambigu
Tu as choisi ton camp et la trahison était partout
Les scrupules te sont complètement inconnus
Même ravi des risques encourus avec ce voyou
Toujours cette impression d’être tombée à côté
Eluder certains sujets pour éviter les fâcheries
Jamais rien ne te fait plaisir, tu préfères bouder
A quoi bon continuer, mes larmes sont taries.
M.M. – 24 mars 2014