18 Juillet 2015
Il me semblait tout à fait inimaginable
De ne plus penser à lui quelques heures
Et pourtant, dimanche, ça a été faisable
Il est sorti de ma tête, voire de mon cœur
Aussitôt reprise par cette atmosphère
Estompés ces cinq derniers mois
Je perçois cette ambiance familière
Et je me trouve face-à-face avec toi
Sans m’en rendre compte, j’oublie tout
Sauf le principal, la raison de ma présence
Le clan se reforme, s’agrandit autour de nous
On retrouve naturellement notre connivence
L’après-midi et la soirée filent bien trop vite
Arrive l’heure de la séparation, des au revoir
Une fois, rentrée, son existence semble insolite
Encore une fois, j’ai été piégée sans le vouloir.
M.M. – 18 juillet 2015