14 Janvier 2008
Beau comme un dieu, le portrait de ton papa
Enfant, tu étais éveillé, malin, très câlin déjà
Nous t’avons aimé dès que nous t’avons vu
Jamais papa n’a regretté de t’avoir reconnu
Aujourd’hui encore, nous sommes très fiers
Merveilleux don de la nature d’être ta mère
Il y a en toi fureur de vivre et une telle joie
N’oublie en aucun cas que nous t’aimons toi
M.M. – 14 janvier 2008