29 Août 2008
A la nuit tombée
A la terrasse d’un café
En plein cœur de la Cité
Deux boissons chocolatées
Avec pour m’éclairer
Ton sourire carnassier
Avec pour me réchauffer
Ton regard enflammé
Avec pour me bercer
Ta voix et sa douce tonalité
La place se vide, désertée
Les passants vont se coucher
Nous y sommes étrangers
Le serveur voudrait fermer
Rien ne peut venir briser
Ce doux moment d’éternité.
M.M. – 29 août 2008